Quand un stage de survie mène à la mort.

Kraven a écrit:Mais, surtout, amha, faites de votre prépa un truc positif et constructif, un plaisir. Ne vous laissez pas aller au pessimisme, à la déprime. 
Puisez dans votre quotidien pour alimenter votre parcours de vie vers un mieux, un bien être. Si votre prépa devient obsessionnelle, source d'angoisse... elle n'est plus ni productive, ni positive, mais toxique. 
Amha, ce type de vision est trop délaissée par les preppers et néo survivalistes. Pire, elle est occultée. 
Je ne sais comment y remédier.

Tu ne peux pas,c'est propre à chaque individu,trop de paramètres à prendre en compte.
Quelques pistes:
-L'age, ta vision de la prépa ne sera pas forcement la même si tu as quarante ans en bonne santé versus un boomer qui doit éviter les pièges de obsolescence physique, intellectuelle et mentale.  
-Les moyens financiers,celui qui dispose d'une maison avec un lopin de terre versus celui qui vit en appartement par exemple et pour lequel le but ultime est d'avoir lui aussi la possibilité de faire son potager,d'avoir sa cuve a eau et son abri à bois bien rempli..
-La frustration,si,déjà,ta vie perso et/ou professionnelle est "compliquée",faite de contraintes et de priorités vitales (élever ses enfants,se loger,manger,se chauffer,payer ses crédits,etc..)il reste peu de place pour le reste d’où un sentiment d'inassouvissement,voire d'impuissance.
-L'entourage,surtout familial,combien de témoignages quant à l’incompréhension de la compagne,pas facile de passer pour un parano..
-La perception personnelle que tu peux avoir du prepper ou du survivaliste,entre le macho dur au mal,l'ermite autonome décroissant,le baroudeur bardé de matos,etc...pas facile de trouver sa propre voie...

Et enfin,la pression,"l'étiquetage" médiatique,chaque fois qu'un mec est impliqué dans une affaire et qu'il a quelques provisions et "ustensiles" chez lui,il se fait désosser. "Connu pour ses convictions survivalistes,blablabla,en marge de la société,blablabla".
Idem pour le journaliste qui te sort un reportage en immersion dans le monde des preppers,rarement positif ,le plus souvent à charge ou le sociologue qui te sort une étude ,quitte à te faire rentrer dans les cases à coup de pompes pour correspondre à sa méthodologie...

Pas simple pour beaucoup,un chemin de croix pour d'autres,c'est la vie ma pov' Lucette...

Résilient a écrit:

voilavoila a écrit:S'adapter. Improviser. Dominer. Tout ceci en restant relax.

Belle référence : 

J'apprécie beaucoup Clint Eastwood.
Un acteur dont les films, comme acteur et réalisateur, vont de l'inspecteur Harry à la route de Madison et à Gran Torino a forcément une personnalité intéressante.
Sans compter qu'il avait l'air de se foutre complètement de ce qu'on disait de lui.

P.S.: j'ai quand même glissé une citation latine, histoire d'avoir l'air intelligent et cultivé.

veno a écrit:

VOILAVOILA

Un gros balèze ramolli     ira moins loin qu'un petit qui en veut.

tu peut precisé car si c'est sexuel faudrai d'abord poser la question à madame ,la somatisation sur mon canapé jai des crampes aux abdominaux tellement je me poile ,pas besoin de séance de sport jai le bide qui remue de partout comme de la gelé de groseille.

Pour t'être agréable :

- il vaut mieux une petite qui frétille qu'une grosse qui roupille.
- il vaut mieux une petite qui chatouille qu'une grosse qui pendouille.

Le premier qui pense que je parle pour moi n'aura droit qu'à mon mépris silencieux.

voilavoila a écrit:

veno a écrit:

VOILAVOILA

Un gros balèze ramolli     ira moins loin qu'un petit qui en veut.

tu peut precisé car si c'est sexuel faudrai d'abord poser la question à madame ,la somatisation sur mon canapé jai des crampes aux abdominaux tellement je me poile ,pas besoin de séance de sport jai le bide qui remue de partout comme de la gelé de groseille.

Pour t'être agréable :

- il vaut mieux une petite qui frétille qu'une grosse qui roupille.
- il vaut mieux une petite qui chatouille qu'une grosse qui pendouille.

Le premier qui pense que je parle pour moi n'aura droit qu'à mon mépris silencieux.

Un gros balèze ramolli     ira moins loin qu'un petit qui en veut.

Le premier qui pense que je parle pour moi n'aura droit qu'à mon mépris silencieux.

je demander une précision sur le sens de quoi tu parlais ou de qui ? pas de savoir si certaines femmes préfère les molles ou les petites dures qui frétillent

voilavoila a écrit:Un sujet sur les conseils de lecture ?

Ch'ais pas. Il y a tellement d'options, de solutions... Perso, je pense que ce sont celles que l'on expérimente, que l'on pratique, IRL et pas le nez dans les bouquins.

voilavoila a écrit:Aucune anxiété chez moi.

Toi et moi ne sommes pas les autres.  

voilavoila a écrit:Si l'on est préparé à surmonter des situations difficiles, pourquoi être anxieux ?
Nos grands-parents avaient un mode de vie survivaliste et n'étaient pas anxieux.
Dans certains pays beaucoup d'habitants ont des attitudes survivaliste et ne sont pas anxieux.

Nos grands parents étaient anxieux. Météo pourrie = récoltes pourries = peur du manque. Tuberculose, polio, etc et anxiété de perdre le petit dernier. Et j'en passe. La peur de la misère imprègne encore nos générations (mémoire historique).
Mais je te taquine. Toutefois, s'ils ne vivaient, ou ne vivent, pas forcément dans l'anxiété, côté tranquillité et bien être psy, on est quand même pas toujours dans l'utopie de la vie en rose.  

voilavoila a écrit:- Les écolos politiques, au nom du bien, répandent l'anxiété. Comme ils ont l'étiquette "camp du bien", peu osent les envoyer promener. "Charlie hebdo" pourtant écolo a, lui, osé parler de l'escroquerie de la voiture électrique. 
- Le gouvernement gouverne par la peur, génère de l'anxiété, pour faire accepter certaines mesures privatives de liberté.

C'est pas glop mais écolos, élites, etc, aiment bien, manifestement, nous voir anxieux. Prophètes de malheur, créateurs de théories du complot (le racisme systémique, les wesh wesh qui cassent parce qu'ils s'ennuient, les gilets jaunes fachos, le patriarcat (les hommes tous ensemble, complotant pour faire la nique aux femmes)...) - j'ose -, ils s'imposent comme la solution à tous les problèmes (qu'ils ont souvent créé). 

Mouais, la seule vérité, c'est que ceux qui survivront a la première volée d'emmerdements se retrouveront dans une situation inédite et que même les plus "préparés" peuvent claquer une durite et sauter par la fenêtre alors que des pétochards peuvent se révèler et tirer leur épingle du jeu... 

Une autre vérité c'est qu'entre ce que disent les uns, ce que réellement ils savent faire et ce qu'au final il seront capable de faire au bon moment, ben y'a souvent un fossé assez impressionant

La préparation ne fait qu'augmenter le pourcentage de réussite, le reste c'est la chance, les circonstances,etc,...

Que le pourcentage soit de 1%, 20%, 50%........

Personne ne peut le dire mais ce qui est sur c'est que ce n'est pas 100 %

Vi mais... Y a pas que Rambo.
Survivre après ce fameux teotwawki, dans un monde apocalyptique c'est une chose, survivre dans une société 'blade runner' sorti des rêves de K Dick, autre chose, survivre même dans la société actuelle, d'hier ou d'avant-hier une autre encore. C'est pourtant survivre (si si, même en openspace ) mais ça désigne des mécanismes différents.
Alors être pessimiste dépressif, ? Optimiste de Tartarinades ?
Juste déterminé, je pense.